Hello,

Mon atelier a suivi les préconisations techniques de Mazda pour la géométrie et le comportement est idéal, sans trop attaquer les pneus. Si ça intéresse, je pourrais poster le rapport de géométrie fait après la pose des ressorts.

Je veux bien, merci.

Avec un peu de délai, voici les mesures après pose des ressorts courts et réglage par l'atelier.

Après un mois sans qu'elle ne sorte du garage avec le temps pourri, et une semaine de congés dans la Forêt Noire et dans les Vosges avec une grosse Volvo (à découvrir sur mon compte Instagram), quel plaisir de rouler par un joli samedi ensoleillé avec la petite. 100 km au gré des virages, sans personne sur les routes, le pied !

Thank you sir !

Jolies photos au niveau du château de la Mormaire...

Tu es satisfait de la géométrie ? Dans les virolo ça tiens le pavé ?
Je dois refaire la mienne et je sais pas quoi mettre comme valeur.

C'est exactement ce que je voulais : plus rigoureux dans le sinueux avec un train arrière moins mobile, sans trop pénaliser le confort sur route dégradée ou longs trajets. 34 000 km et toujours les pneus d'origine, dont 15 000 km avec les ressorts courts et cette géométrie là, donc ça ne bouffe même pas plus de gomme.

Ok merci
J'ai scanné la page pour quand je changerai mes pneus.

Envoyé de mon Mi 9T en utilisant Tapatalk

L'hiver est presque dans le rétroviseur, un véritable bonheur de sortir avec la MX et de profiter de cette belle lumière.





Compagnes de la journée : 2 Cat' (dont une R500), une S2000, une Elise S1, une Mini et bien sûr… des MX à foison.

Enfin (presque) libres !

Pas grand chose à faire sur la MX pendant le confinement. Contrairement aux mamies du forum, pas besoin de la bricoler dans tous les sens.

J’ai juste changé les feux de plaque ainsi que les deux navettes LED (plafonnier et coffre) pour lâcher les halogènes et avoir une lumière plus moderne. Côté esthétique, elle a eu un lavage comme il se doit et une nouvelle application de cire Ultimate Wax de Meguiar’s qui renforce toute la profondeur du Machine Gray.

L’avantage d’habiter en-dehors des villes, c’est que j’ai pu profiter de ces belles journées que nous avons eues pour rallonger quelque peu le trajet jusqu’aux « courses de première nécessitée ». Prendre le volant de ce petit jouet se révélait être une bouffée d’oxygène, un retour à la réalité et à de vraies sensations au milieu de toutes ces heures passées sur les forums, Kurviger et YouTube.

Maintenant qu’on est libres, la saison va enfin pouvoir être lancée.

Belles photos, belle auto !

Auto et pilote déconfinés, 3000 km de balade engloutis depuis cette date libératoire du 11 mai.

Tant de captivité nous ont frustré, alors au-delà même des petites balades dans la Vallée de Chevreuse, je me suis organisé deux virées intenses comme je les aimes d'une journée au cours de ce mois de juin.

Dimanche ensoleillé dans Le Morvan, l'eldorado aux 10 000 virages et aux forêts majestueuses à moins de 3 heures de Paris, avec deux illuminés qui avaient envie de (beaucoup) rouler eux aussi. Voir les tracés ici.





Jeudi estival sur la Côte d'Albâtre, entre Dieppe et Le Havre (Cap d'Antifer), pour aller revoir la mer et prendre une bonne dose d'air iodé avant l'arrivée des touristes estivaux. Journée hyper ensoleillée et plutôt chaude (30-34 degrés), à longer cette merveilleuse côte et ses falaises. Excellente surprise d'avoir redécouvert des routes absolument géniales, et de pouvoir y greffer quelques arrêts baignade (des pieds).

Vous retrouverez le tracé ici.











À chaque fois, l'organisation de ces escapades de 900 km (pour le Morvan) et de 600 km (pour la Côte d'Albatre) s'est vraiment faite à la dernière minute, pour répondre à une pulsion irrépressible de roulage et de grands espaces.

Deux destinations géographiquement opposées, aux philosophies de roulage bien différentes, mais correspondant toujours parfaitement à cette merveilleuse petite ND. À l'aube de sa 2e révision, et 16 000 km parcourus depuis, son niveau d'huile n'a pas bougé d'un iota, et aucun bruit parasite ou soucis ne viennent entacher ce beau tableau. À part ses trop nombreux impacts de gravillons sur le museau, elle est comme neuve et tourne comme une horloge.

Cette voiture correspond toujours à mon idéal automobile : pouvoir décider de partir en road-trip du jour au lendemain et m'accompagner comme il se doit sur des routes exigeantes, sans avoir à craindre de tomber en panne ou d'y laisser une lame avant. Elle est ce petit jouet authentique, réellement polyvalent et incroyablement attachant dont on ne se lasse jamais. Cerise sur le gâteau : elle coûte moins cher à faire rouler et à entretenir qu'une citadine lambda, avec une consommation moyenne de 6,4 L/100 km depuis que je l'ai (36 000 km).

Bref, je ne suis pas prêt de changer.

De bien jolis spots ! (en attendant les carreteras de warriors )

Merci pour ces magnifiques photos, ça fait rêver ! Peut-être quand je serai à la retraite je me donnerai comme challenge de refaire toutes les balades que tu as posté