Jour 1 : Le Dorat - Barage de GrandVal

Tout commence par le championnat du monde de tonte de moutons. Notre premier sinistre est annoncé : il fera des démonstrations sur des automobilistes dociles, impossible de résister !



Non je blague (pour les démonstrations, le championnat à bien eu lieu). Le roadtrip commence véritablement au Lac de Guéry ...



En passant par la Croix Morand/Robert, le puy Mary ...



pour se terminer à l'aplomb du barrage de GrandVal (pour le premier jour !)



Tracé : https://kurv.gr/BXOJ0

Point de chute exceptionnel, tant de part la prestation que du point de vue : http://www.labatissedegrandval.com/
Cette maison d'hôtes propose un hébergement d'une très grande qualité proche d'un 4 étoiles, chambres avec vue lac et une restauration simple et copieuse pour ceux désirant rester sur place le soir (il n'y a pas grand chose à 20 kms à la ronde pour tout dire !).
80 € la chambre (ça les vaut !) et 22 € le dîner.

cool bon voyage

Jour 2 & 3 & 4 : GrandVal - Aix - Le Castellet : Direction l'événement organisé par Mazda France auquel j'ai été convié.

Au petit matin le propriétaire du gite m'emmène à un joli point de vue (Belvédère de Mallet) en échange d'un prêt de volant (on a beaucoup discuté bagnoles toute la soirée il a eu un paquet de caisses dont une Berlinette)







https://kurv.gr/R1l1l

Direction ensuite les gorges de l'ardèche via le viaduc de Garabit puis le lac de Naussac : https://kurv.gr/7OukX



Une autre petite route sympa d'Auriol au Circuit du Castellet : https://kurv.gr/hz74A (Très belle petite route, malheureusement trop étroite pour vraiment rouler vraiment confortablement - enfin là c'est Thom qui conduisait )

Bien entendu je vous recommande à la fois l'hébergement et le restaurant auquel nous avons eu droit, un grand merci à Mazda France et mon concessionnaire Mazda Laval pour cette somptueuse invitation.

Les stars prêtes à en découdre :



L'hôtel juste fabuleux :

Jour 5 :

Initialement, après la petite balade en mer...









... le trajet devait débuter à Menton pour se terminer à Isola 2000 en passant par le Turini, bref un joli début de RGDA.
https://kurv.gr/5D7G9

Malheureusement un problème technique m'oblige à retourner à Aix pour changer des pneus arrières dont j'ai sous estimé l'usure

Je ne regretterai pas mon investissement pneumatique après seulement quelques minutes :



2 jours avant ce cadre trônait dans ma chambre de GrandVal



Bilan je n'ai profité que de la section St Sauveur sur Tinée - Isola 2000. Bitume globalement parfait, route large à l'exception de quelques petits passages.
La montée vers Isola 2000 est TRES roulante !

Point de chute : Residence New Chastillon... Une résidence 4* sans âme, tarif à la hauteur de la prestation minimaliste (lit à faire soit même, ce qui est rare dans le cadre d'une location type nuitée d'hôtel). Le choc est rude par rapport à la prestation de la veille où une personne est venu ranger nos chambres pendant le dîner

Bref je ne recommande pas spécialement malgré un personnel à l'accueil très sympa.

Jour 6 : Isola 2000 - Saint Pierre (vallée d'Aoste)

Le trajet : https://kurv.gr/kjkSB

Pas grand chose à dire sur les paysages. On est sur une valeur sûre !
Tout d'abord le col de la Bonnette où j'ai pu voir les dernières neiges mais aussi des cyclistes à tendance suicidaire qui considèrent que la route leur appartient à grimper à 3 de front (franchement je les admire à grimper des cols pareils mais parfois ils ne sont pas raisonnables)... Les motards ne sont guère mieux à couper les trajectoires façon la route est fermée...



Col de Vars :



Col d'Izoard :



Bref la RGDA jusqu'à Briançon.

Ensuite direction le col de l'Echelle (ouvert, merci BP de m'avoir prévenu qu'il était possiblement fermé en raison de coulées de boue ). Il venait de ré-ouvrir la veille...



La route était dans un état impressionnant de poussière et de flotte qui continuait à traverser la route (ce qui m'a valu un passage avec 10 bons cms de flotte sur une centaine de mètres).

Arrivée à Bardoneccia je me mélange les pinceaux, j'enquille l'autoroute dans le mauvais sens (je n'ai pas dit contre sens hein ! ) et je me retrouve à l'entrée du tunnel pour Modane... trop tard faut payer 46 € ! Le col de la Madeleine, d'Iseran puis le Petit St Bernard me feront oublier cette péripétie...

Col d'ISeran :





Lac Chévril :


La Thuile :


J'enquille un dernier bout de montagne avant St Pierre sur les conseils de Kurvinger.
Un joli brin de route, un peu étroite mais offrant de jolis points de surplomb de la vallée.

Point de chute dans un charmant petit hôtel familial que je recommande chaudement. 56 euros la nuit, petit dej compris.

Chambre climatisée, propretée impeccable, petit déjeuner gargantuesque digne d'un 4 étoiles, parking privé.
http://www.hotelsaintpierre.it/

Jour 7 : Saint Pierre - Domodolossa

Programme de la journée : On commence par une petite route qui surplombe la vallée d'Aoste, bonne entrée en matière avant col du Grand Saint Bernard direction Martigny en Suisse.



Nous sommes samedi et une course à pied a été organisée (sans me prévenir ) entre le sommet du col du Grand Saint Bernard et Bourg St Pierre. Autant dire que la montée a été cool (ligne continue tout du long de toute manière).

La descente ne fut guère plus réjouissante, la faute aux coureurs qui traversent la route à 2 ou 3 endroits. Etonamment la descente (côté Suisse) n'affiche pas de ligne continue bien que beaucoup moins safe (peu ou pas de rail).






Les paysages sont grandioses. A refaire en semaine. Un jour. Dans un carrosse orangé par exemple
Arrivée à Sion, direction les hauteurs de la ville. Routes bordées de vignobles qui laissent place à la forêt au fur et à mesure qu'on s'élève.
Mon spot de pique nique à Crans Montana : vue imprenable sur l'ensembe de la vallée de Sion.



Ensuite direction Brig mais via Eischoll-Visp, route sinueuse à souhait, bitume d'autoroute. On ne croise pas du tout par endroit. Heureusement peu empruntée

Retour en Italie via le col du Simplon sous un bel orage qui ne me confortera dans ma décision de changement pneumatique réalisée l'avant veille !



Point de chute : Une maison d'hôte juste exceptionnelle, située légèrement en dehors de la ville : http://www.beblecamelie.com/

Propriété boisée et fleurie d'au moins 1/2 hectare, jardin splendide, chambre climatisée avec balcon... 50 €... petit déjeuner compris !



Le trajet : https://kurv.gr/9K02C

Jour 8 : Domodolossa - Trepalle

Au programme quelques cols pour changer Il me faut tout d'abord rejoindre Logano. La route est très étroite et le revêtement médiocre jusqu'à la frontière Suisse. Côté Suisse bitume parfait, route élargie.

Kurvinger me fait, pour une fois, prendre une route sympa en ville ce qui me vaudra un stop avec un joli point de vue sur l'ensemble de la ville.



Direction ensuite le col de San Bernardino. Un de mes préférés jusqu'à ce que je me fasse flasher dans une pseudo zone urbaine limitée à 60 j'attends la note... probablement salée.





La route est assez déserte, peu ou pas de cycliste, météo moyenne mais c'est sec. Passé le sommet il se met à pleuvoir et la pluie ne me quittera plus jusqu'à St Moritz...

Mais la pluie ce n'est rien. J'enquille l'Albulapass et je tombe au milieu d'une course cycliste avec des centaines de coureurs sur ... route ouverte ! Totalement improbable. Il fait 12 degrés ça grimpe a 8 ou 10%. Faut aimer se faire mal.

Quant à moi je vais mettre une éternité à passer les petites groupes de cyclistes (heureusement très disciplinés).

J’entame la descente en ayant passé l'essentiel des coureurs (je fais des micro-dépassements depuis 1h !). La route est détrempée, j'arrive derrière un véhicule qui descend prudemment à 60 km/h quand un artiste de la petite reine nous fait l'extérieur à tous les deux dans une épingle ! (j'étais à 2 doigts d’entamer un dépassement, on passe parfois à 2 doigts d'une catastrophe...)

Ni une ni deux je lui emboîte le pas... Je dois dire que j'ai pris une leçon de trajectoire (et de prise de risque aussi). Je n'en reviens toujours pas : Le gars descendait a 70-80 km/h sur l'équivalent d'un dé à coudre de gomme ! Il ira même jusqu'à définitivement me distancer à l'occasion d'une section en travaux avec des caillasses énormes qui le freineront à peine ! J'imagine qu'il a la carte Pneu increvable au mille bornes !

Avant St Moritz j'oblique vers Bernina Pass avec son célèbre glacier qui n'en fini pas de fondre La faute à nos petits plaisirs solitaires si l'on en croit certains spécialistes autoproclamés de la prévision météo à 30 ans.



Le soleil est de retour, l'occasion de profiter de ces magnifiques paysages.

Après ce joli Lago Bianco...



... je rentre à nouveau en Italie pour rejoindre mon petit point de chute habituel de Trepalle dans la zone franche de Livigno (1,05 € le litre de SP contre 1€80 la veille à Aoste !)




J'y ferai une rencontre statistiquement improbable au moment de la photo :



Le superbe lac de Livigno :



Dodo à l'habituel Bait De Angial. L'endroit est vraiment magique à 1955 m d'altitude. L'hôtel semble bien rempli contrairement à l'année passée. Je suis bien content pour le jeune repreneur.

Le trajet final : https://kurv.gr/x94Cu

Superbe balade et photos réussies !
Bravi !

(bravo au pluriel pour les non-ritalophones).

Jour 9 : Direction le parc du Triglav Slovénie via le Stelvio puis le nord du parc des Dolomites.

La journée commence bien, il fait beau et j'arrive au pied du Stelvio vers 9h30. Pas mal de cyclistes sur les premiers kilomètres puis, à partir de la moitié, pratiquement plus 1 seul. Bilan j'arrive au sommet très rapidement et en redescend sans la moindre gène ! Je trouve même LE spot pour faire LA photo !



Je croise dans la descente 3 NA rouges qui roulent manifestement en convoi, puis un autre groupe Ferrari/Lambo/Porsche.

Arrivée à Trafoi je manque de me faire flasher par des radars fixes dans des boites oranges (décidément l'orange est très à la mode cette année ). J'en passerai des dizaines (une centaine ?) pendant au moins 150 ou 200 kms ! A noter que la plupart de ces boites sont... vides !

Merano-Bolzano, route entre 2 massifs montagneux, bordés de vergers à pertes de vue.

Bolzano - Soraga di Fassa - Falcade - Dont : Très belle route, hyper roulante. Bordée de forêts apparemment victimes d'une énorme tempête avec des milliers d'arbres à terre, paysage typiques des Dolomites quand on passe à Falcade.



A Dont impossible de faire le plein de SP, la station est en rupture. Seconde contrariété : depuis 2h Kurvinger m'allonge la durée de trajet de 5 minutes tous les 1/4 d'heures...

Je décide d'arrêter de suivre ses instructions car je sens que je vais arriver de nuit en Slovénie au rythme où vont les choses.

Je descends à Longarone par une route par la SP251 pour remonter en longeant le fleuve Piave via la SS51. Sacré belle route malheureusement déviée sur tous ses tunnels en travaux.

Arrivé à Lozo di Cadore, l'heure tournant aussi vite que la météo à l'orage, j'assure en prenant la SS52 et non le trajet plus au nord suggéré par Kurvinger, jusqu'a Ampezzo puis Amaro où j'assure définitivement le bal en prenant l'autoroute jusqu'en Slovénie plus au nord plutôt que de passer par le sud du parc du Triglav pour rejoindre l'hôtel. Je vais bénir ce choix une heure après être arrivé à l'hôtel car il se mettra à pleuvoir des cordes et pour une bonne partie de la soirée !

Trajet prévu (infaisable raisonnablement en une seule journée - et j'ai des doutes sur l'état de certaines routes) : https://kurv.gr/n6aF1

Trajet réalisé (déjà trop long) : https://kurv.gr/PnKyC

Point de chute : Hotel KORONA. Situé à Kranjska Gora, adossé à un Casino. Très joli emplacement en dehors de la ville, chambres gigantesques, parquet massif, insonorisation exemplaire. Juste parfait. 62€ PDJ compris, restaurant excellent et pas cher.

Jour 10 : Cette journée devait être la cerise sur la gâteau... Autant le dire j'ai été déçu en grande partie à cause la météo.

Comme hier j'ai shorté le parc du Triglav je décide de simplifier ce que j'avais prévu de faire en Autriche pour aller voir comment c'est.

L'hôtel est situé au pied du parc, j'y suis donc immédiatement. Les paysages sont superbes et les routes correspondent bien aux photos qu'avait publié Nono ici : viewtopic.php?f=294&t=38809&start=15

Les épingles sont totalement pavées. Toutes. Par contre le bitume est dans un état déplorable.



Au bout d'une trentaine de kms et voyant la route se dégrader je décide de rebrousser chemin...

J'empile quelques cailloux pour marquer mon passage ...


Puis décide d'envahir l'Autriche via le Grossglockner



https://www.grossglockner.at/gg/fr/index

La route pour s'y rendre est assez longue d'autant que je n'ai pas pensé à acheter de vignette pour emprunter l'autoroute.

J'arrive sur la fameuse 107. Elle est donc à péage (36€ ) et ouverte de 5h a 21h. Il fait relativement beau. Le péage se situe à une quinzaine de kilomètre du sommet. Les paysages sont déjà très jolis avant.



Autant le dire, niveau bitume on en a pour son argent : C'est juste irréprochable. Y'a même des zones de dépassement à 3 voies. A plus de 1500 m d'altitude c'est assez rare !
Je repère des spots pour faire des photos car je projette de faire demi tour 40 kms plus loin avant la barrière de péage pour refaire la route dans l'autre sens...

Malheureusement passé 2200 m, un brouillard incroyable : on ne voit pas a 30 m !



Je roule en suivant la ligne continue située sur ma droite à 30 km/h !

Je passe le sommet et son tunnel pensant que cela va s'améliorer, c'est pire... Au final je me retrouve rapidement à la barrière de péage nord sans l'envie de faire la route dans l'autre sens. Je n'aurai rien vu ! Bref il faudra revenir car on ne peut pas rester sur un tel échec

Je me dis que je peux me refaire via la 108, route parallèle situé 30 kms plus à l'ouest pour repartir vers l'Italie. On se fait alléger à nouveau de 11€ . C'est nettement plus roulant avec un tunnel de 10 ou 15 bornes au milieu.

A Huben j'oblique plein ouest sur la L25 ! Ze road de la journée : bitume parfait, route quasi déserte (je vais savoir pourquoi arrivée à la frontière) paysages sublimes.









Arrivée au sommet je me retrouve dans une petite file de voitures précédées par des dizaines de motos : Il y a un feu tricolore et un panneau 15 min/45 min. Le versant italien serait donc ouvert 15 min dans un sens et 45 dans l'autre ? (à creuser...). Et pour cause la route est très étroite. Bitume parfait, quelques points de vue sympa mais interdiction de s'arrêter pour des raisons évidentes de circulation alternée.







Point de chute : Hotel Pascher... finalement pas si bon marché. Chambre sympa, pas de climatisation (pas grave il fait 19°), piscine intérieur, SPA etc... restaurant nul. Sans intérêt.

Trajet final : https://kurv.gr/MI57L

Jour 11 : Direction le lac de constance.

Retour en Autriche via la SS44 et la SS44bis.

Autant le dire c'est ZE découverte de ce roadtrip. Route FA-BU-LEUSE. Sinuosité : 10/10, Bitume 8/10 côté Italien, 10/10 côté Autrichien. Ça grimpe à plus de 2500 mètres. Seul bémol, une fois de plus il faut sortir la carte bleue au bout de la S44bis : 16€ Dans l'absolu ça les vaut largement : La route est large, super sécure. Peu de cycliste.















A refaire dans l'autre sens un jour : La montée de la S44bis direction l'Italie est une quasi ligne droite de plusieurs kilomètres à 10% et plus. Surement plus marrant à monter qu'à descendre (en voiture ). Je croise quelques pétards sympathiques (R8, Donk, nombreuses 911,...)

Cols passés : Passo Giovo et Rombo.

Coté autrichien la S44bis se transforme en route 186 qui va longer un torrent assez puissant sur toute sa longueur. J'enchaine la 171, la très intéressance 316 puis 198 et 200 pour passer le col de St Anton ou je me fait photographier à nouveau ... par une Google Streetview car... ce qui en soit est peut-être une bonne nouvelle car ce service n'est quasi pas disponible dans ce pays ce qui est un brin pénible pour anticiper des routes "compliquées".

Point de chute : Hôtel Alpenrose. Superbe hôtel au milieu de nulle part.
http://www.alpenrose-ebnit.com/hotel.html

Compter 18 à 20 minutes en partant de Dornbin pour faire les 10 kms. Le patron de l'hôtel m'a chambré en me disant qu'il en mettait 13 !

Chambre magnifique, vue panoramique sur la montagne (toutes les chambres semblent avoir une baie de 5m x 2 ). Le restaurant ferme à 20h. Gestion de l'établissement un peu rock'n roll (on me file les clés d'une chambre occupée , on me presse de dîner à 18h30 en se plantant dans ma commande et le petit déjeuner est assez limité niveau choix (pour les adeptes de pdj gargantuesques)



Trajet : https://kurv.gr/jeC05

The END.

Comme à l'accoutumée, un super reportage d'un sacré périple Merci
Seule la chevauchée jusqu'en Russie pourrait te supplenter cette année
Je découvre avec peine l'existence de beaucoup de routes payantes en montagne !
Verdict, su été différent, mieux en MX ?

PS : pas de passage par la Sellaronda du coup ?

La chevauchée Russe est clairement une virée d'une autre trempe Une sacrée organisation comme je le disais dans le sujet consacré. J'espère qu'on aura droit à un compte rendu documenté !

Pour la Sellaronda je découvre cette boucle. je vois sur Google que c'est une boucle typée ski



Y'a un tracé route officiel ?

Pour la comparaison avec la MX5, la philosophie est peu la même en Alpine, le toit en plus Je dirais que c'est frustrant sur le plan de la puissance car on est obligé d'être davantage sur la retenue là où en MX5 on peut conduire (dans une certaine mesure) un peu plus "à fond" en restant dans le spectre du raisonnable (après je ne connais pas bien les référentiels locaux non plus )

Dans ce post, j'avais mis un tracé Google Maps en se basant sur les 4 cols => viewtopic.php?f=57&t=42058&hilit=Sellaronda#p16179402
Tu avais répondu que t'y serais dans 15 jours