Routes Métropolitaine, les routes départementales dans la métropole NCA. Toutes les bornes et cartouches n'ont pas encore été changés, car ça coute une blinde

Mais ce n'est pas réglementaire Bien qu'il semble y avoir un accord pour mettre les cartouches des routes "ni départementales / ni nationales" en bleu. C'est aussi le cas des routes territoriales (TXX) en Corse.

Merci Nicolas.

ÉTAPE 2 : VALBERG - BRIANÇON (204 km)



Départ vers 8h00 de l’hôtel, après un petit déjeuner correct. Dommage pour la salade de fruit qui n’en n'était clairement pas du jour même Détour par la supérette de la station pour le pic-nique de midi et descente sur Guillaume de l’autre côté du col.

On passe vraisemblablement devant le col de Valberg à la sortie de la station mais on a raté le panneau.



En revanche, on s’arrête devant un beau panneau RDGA pour la photo souvenir, d’ailleurs heureusement qu’on a fait la pause devant celui là, car les panneaux de ce type sont assez rares, et rarement dans des endroits aussi propices aux photos.



Dans la descente de Valberg vers Guillaume, on est arrêté par un convoi d'animaux en tout genre : moutons, ânes, chèvres etc. Heureusement qu’ils vont dans le sens inverse au nôtre !



Thomas à d’ailleurs croisé le même élevage la veille un peu plus bas dans la vallée. Visiblement, il y avait 2500 bestioles dans le troupeau !



On retrouve la ND dans le village de Guillaume située dans le vallée du Var (le fleuve, pas le département car on est toujours dans le 06 :p ) On attrape également la D2202, qui est en fait l'ancienne RN202, colonne vertébrale de la RDGA.

C’est parti pour le 1er col de la journée : le col de la Cayolle, 1535 m de dénivelé sur une 30aine de km depuis Guillaume.



La 1ère partie de la route jusqu’à Entraunes et très roulante, pas très très intéressantes.



Passé le village d’Entraune, ça commence à s’élever plus franchement et à tournicoter, mais la voie est également plus étroite.





Pause à la sortie d’Entraune avec vue sur les cascades du Garreton et d’Aiglière.

La partie finale du col est très étroite, trop à mon gout pour prendre du plaisir, obligé d’entrer dans les virages au pas en cas de croisement. Et des croisement, il y en a !



Exemple, ce cycliste sans éclairage à moitié au milieu de la route dans ce tunnel non éclairé



Ou cette Peugeot 505 qui m’oblige à faire une belle trace de gomme sur la route





On approche du col, on passe devant les 1ers névés du voyage.

Col de la Cayolle, altitude 2 326 m





Photos habituelles devant le panneau qui marque aussi la frontière entre les Alpes-Maritimes (06) et les Alpes-de-Hautes-Provence (04) et place à la descente, vers Barcelonnette. La route devient la D902, c’est très souvent sous ce nom que l’ex RN 202 a été reclassée.



La partie haute n’est pas très escarpée mais très jolie, il y a moyen d’apercevoir des marmottes.



Coucou à la ND RF allemande :p

Arrivé au village de Bayasse, place aux Gorges du Bachelard, changement de décors.



Étonnamment, cette partie est en vert sur les carte via Michelin alors que la partie haute non. Perso, j’ai préféré le haut. Pas hyper fan des gorges qui sont étroites, la visibilité est fatalement assez mauvaise et pas mal de pierres sont présentes sur le bord de la route, empêchant de trop serrer à droite. Heureusement, on a pas croisé de bus à la sortie d’un virage à droite






Pause photo, Thomas qui me suis me signale que ça fume un peu bleu lorsque je suis sur le frein moteur (joints de queue de souspapes, yo ) Check de l’huile, ça semble bon, à peu près au ⅔, bien que la surface ne soit pas plane.

Il est 11h, on profite de la traversée de Barcelonnette, l’une des 4 ou 5 “grosses” ville (c’est relatif) sur tracé de la RDGA, pour faire le plein d’essence de la NA ou le plein de nourriture pour le conducteur de la ND

11,34l / 100 sur ce 1er tiers de la RDGA, it’s a new record

On remonte ensuite l’Ubaye sur une 15ain de km avant d’atteindre le pied du prochain col, le col de Vars.



Le fort de Tournoux à la sortie Jaussiers.



Rien de spécial à signaler, si ce n’est un Volkswagen Transporter ne voulant se laisser doubler , et une ND blanche qui oublie de tourner pour aller au col de Vars et se dirigeait vers l’Italie

Le col de Vars, easy, le moins spectaculaire des cols jusqu’à présent. Route en bon état et bien large, aucun danger.



Col de Vars, altitude 2108m.





On en profite pour manger notre pic-nique, alors que les nuages arrivent…Niveau paysage, ce n’est pas extrêmement impressionnant car on est entre deux pic qui culminent à environ 2700m d’altitude. On a pas vraiment l’impression d’être sur le toit du monde comme c’est le cas sur d’autres cols.





Je profite de l’opportunité de la pause pour refaire quelques photos et vidéos du bord de la route, ça change des photos depuis la voiture.

Je prends place dans la ND en tant que passager pour la descente vers Guillestre. La route de la descente est très très bonne, j'imagine que la montée depuis le nord est assez intéressante, quoique peut être un peu facile.



Vue sur la vallée de la Durance. Guillestre en bas, parc naturel régional du Queyras en face.



Après Guillestre, cap à l’est en remontant le Guil, une route sans difficultés. J’en profite pour essayer la ND tandis que Thomas va faire un tour dans NA.



Ascension de l’Izoard, la 1ère partie est anecdotique, mais passé le hameaux de Brunissard, ça devient sérieux !





Malheureusement, on rattrape on convoi super lent sur la partie finale. C’est au moins l’occasion de prendre le temps de faire des photos.



Col d’Izoard, altitude 2360 m







En mode 4x4 pour rejoindre l’imposante stèle. Pas évident de trouver un moment sans personne pour faire une photo !

L’un des refuges le plus célèbre de la RDGA se trouve 1km en amont du sommet, côté nord (Briançon). On va bien sur y faire une pause. Une bonne occasion de descendre à pied pour faire quelques photos.





Le refuge Napoléon, qui étaient au nombre de 6 à l’origine, sont des refuges construit sous Napoléon III dans le département des hautes alpes. Il en reste quatre aujourd’hui, dont deux sur la RDGA (au col de Vars et à l’Izoard)



Lors de notre pause, on discute avec un propriétaire de MX-5 ND (qui était avec son déplaçoir familiale), il nous parle d’un endroit à découvrir le long de la descente vers Briançon : les Fonts. Vu qu'il est 14h45 et que Briançon n'est qu'à 30km en bas, on décide d'y aller.

Place à la descente vers Briançon, route très bien aménagé et sans danger.



On y croise un impressionnant convoi d’une dizaine de supercars.

A environ mi descente, au niveau du village de Cervières, on quitte momentanément la D902 pour prendre la petite D89T en direction des Fonts.



Une petite route d'une 10aine de kilomètre, assez tortueuse pas endroit, mais largement carrossable pour les MX.



L'endroit est désert, top pour s'arrêter et faire quelques photos.





Arrivé au bout de la route, au hameau "Les Fonts"





On retrouve le gars qu'on avait croisé au refuge Napoléon, il a sorti sa ND pour le coup !

La route étant une impasse, on fait ensuite demi tour





A part ce ralentisseur hard core, ça passe sans soucis pour la NA



On s'arrête dans un petit endroit sympa qu'on a repéré à l'aller. Le chemin d'accès est un peu défoncé mais ça passe avec le SUV ND



Des capacités de franchissement impressionnantes cette ND ! Je ne me suis pas risqué à monter sur le pont avec ma NA







Ça passssssse



On se redirige vers la descente du col de l'Izoard.



Magnifique vue sur la route en provenance du col.

Les quelques 15km restant vers Briançon sont anecdotiques.



Arrivé sur Briançon et ses fortifications.

Pas d'hôtel de notre côté, on dort chez de la famille. Nous somme déjà à la moité du voyage. On a eu de la chance ce jour avec la météo, quelques passages nuageux mais jamais de pluie, en revanche, la météo s'annonce très mauvaise pour le lendemain

La suite, bientôt

+1 j'ai fait cette route en juin 2016 avec ma Lotus avant d'avoir ma RF, j'ai fait un film mais le vôtre est "professionnel" super !! merci de nous le faire partager...

Encore un très beau reportage pour cette deuxième étape

Concernant le panneau du col de Vaberg, en fait tu peux dire que tu as fait la photo avec ta voiture puisqu'il est au bout de la flèche

Ah oui ! Bien vu BP. Depuis le temps que je le cherche celui là Mais c'est débile là où il est placé, ce n'est pas du tout sur un point haut, la descente a commencé depuis au moins 500m ! (en venant de Valberg)

Le col de la Cayolle est très sympa, un de mes préférés mais c'est clairement pas l'endroit idéal pour rouler vite! de toutes façons, de manière générale, il faut faire la RDGa pour les paysages pas pour jouer les Loeb! Il y a les circuits pour ça!

ÉTAPE 3 : BRIANÇON – BOURG-SAINT-MAURICE (262 km)



3e jour, environ mi-parcours de la RDGA. On quitte Briançon vers 8h15, le temps est menaçant, il plu pendant la nuit et la route est encore humide.



Mais le ciel a l’air dégagé où on se dirige, vers le nord ouest.



En revanche, la température a bien chuté par rapport aux jours précédents, on supporte la petite doudoune !

1er col de la journée ; le Col du Lauraret, une formalité, la D1091 qui part de Briançon est très large et sans grand intérêt, surtout sur la partie basse où on traverse pas mal de zones urbaines.

Col du Lautaret, altitude 2 057 m.

Le col, qui est tout le même à plus de 2 000m, n’en est pas vraiment un. S’il s’agit bien d’un point haut sur la route D1091, de notre côté, on continue à monter en direction du Galibier sur la D902.



Pas de panneau indiquant l’altitude, on en fait rapidement une au niveau du panneau qui indique la sortie de « l’agglomération ».

Nous revoilà donc sur la D902, place aux choses sérieuses avec le Galibier, l’un des plus beau col de la RDGA.



Le Galibier, l’un des meilleurs niveau conduite également, même si la route est relativement étroite, elle permet tout de même de se croiser à peu près partout sans trop ralentir. De plus, l’absence de végétation permet d’avoir une très bonne visibilité dans la plupart des cas.



On a vraiment eu du bol car la route était quasiment déserte, très très peu de voitures et de cyclistes en cette heure matinale.



Col du Galibier, altitude 2 642 m

On arrive quelques minutes avant Thomas, j’en profite pour descendre quelques mettre plus bas pour faire quelques photos.



Thomas dans la partie finale (versant sud) et ses nombreux lacets.



Photo au sommet, vers le sud.



Arrivée de la ND au sommet.

Quelques instant plus tard, un convoi de supercars arrive du côté nord. Il s’agit du magazine français Option Auto qui font un road trip avec quelques beau jouets :

• Porsche 911 Targa 4 GTS
• Honda NSX
• McLaren 720S
• Laborghini Huracan Spyder
• Aston Martin Vanquish S

On discute un peu avec les mecs du magazine, ils nous parlent d’un coin sympa à découvrir où ils étaient la veille : la station de la Rosière. Bonne nouvelle, c’est juste sur notre route avant d’arriver sur Bourg-Saint-Maurice ce soir.



Peu de temps après, un convoi de Morgan se joint à la fête.



Un bien beau parking.



Après une pause d’une demi heure, il commence à faire frais là haut, la pluie commence à tomber, il est temps de basculer vers le versant nord et vallée de la Maurienne. On quitte la région Provence-Aples-Côte-d’Azur (et le beau temps )



Tout comme le versant sud, la partie la plus haute est impressionnante, pas le moment pour avoir une panne de frein



Le reste de la descente ne présente pas de grosse difficulté et on arrive dans la station de Valloire.

Passé la station, ça remonte légèrement sur quelques kilomètres avant d’arriver au col du Télégraphe, que l’on ne voit pas forcément arriver lorsque l’on fait le trajet dans le sens sud-nord.



Col du Télégraphe, altitude 1 566 m

Juste le temps de faire la photo devant le panneau avant de nous faire dégager car il est vrai qu’on est à moitié au milieu de la route avec les MX



On ne s’éternise pas et on reprend la route, après avoir décapoté. Il fait quand même bien frai pour un 28 juin

La végétation a refait son apparition depuis Valloire environ, la descente du Col du Télégraphe vers Saint-Michel-de Maurienne est un peu piégeuse car il y a pas mal d’humidité. La route est large mais il y a de nombreuses épingles.



Arrivé en bas du col, on traverse l’Arc avant de tourner à droite vers l’Est pour remonter l'Arc vers Modane, via la D1006.



C’est l’une des parties les moins intéressantes du voyage. De gauche à droite : l’A43, la D1006, la voie ferrée de la Maurienne et l’Arc.



Passé Modane, on entre dans le parc National de la Vanoise, c’est un plus sympa, des longues routes où on se cale à 90km tranquillou, c’est aussi agréable après avoir fait chanter le moteur dans les épingles.



Pas mal de statues d'éléphants dans les villages traversés, sans doute pour souligner le passage supposé des Alpes par Hannibal dans le secteur.



Arrivé au village de Lanslebourg, on quitte momentanément la RDGA (mais on reste sur la D1006) pour faire un détour par le Col et Lac du Mont-Cenis.



La route qui monte au col est super sympa, bien large et safe, avec de belles épingles, elle permet d’attaquer pas mal en tout sécurité. On emprunte en fait une des pistes de la station du Val Cenis, la piste « Escargot » qui semble être l’une des plus longues d’Europe (environ 10 km)

On passe le col (photo plus tard, lors du retour) qui culmine à plus de 2 000m puis continuons la route le long du lac.







Le décor change complètement, fini la forêt et la route qui grimpe, on dirait un peu des décors d’Écosse



Dommage pour la météo.



On essaye d’aller sur la route au dessus de l’impressionnant barrage, on s’engouffre sur un chemin de terre, mais ce n’est pas la bonne route



On atteint finalement la base du barrage mais un écriteau indique que l’accès à la route du barrage est toléré mais à nos risque et péril. On préfère faire demi-tour. Ce barrage est en tout cas impressionnant, on dirait un tas de sable balancé là pour retenir l’eau On fait donc demi-tour pour ne pas finir en Italie et regagner le tracé de la RDGA.



Nouveau passage devant le Lac. Puis arrêt au Col.



Col du Mont-Cenis, altitude 2 083 m



Ce qui est étonnant, c’est que la route d’accès au col puis celle le long du lac ne sont pas verte sur les cartes Michelin. Alors que ça vaut vraiment le coup selon moi.



12h20, de retour dans la vallée, on s’arrête au village de Lanslevillard pour casser la croute dans une boulangerie.

Pendant qu’on mange notre sandwichs sur un banc, je vois une NC RC se garer juste à côté de la ND de Thomas. Je m’approche du conducteur pour lui remettre un flyer du club. Inutile, il s’agit de Vincent94 qui m’a reconnu



Pas pensé à faire une photo de le NC de Vincent, j’ai juste capturé avec la dashcam en repartant.

Suite de la journée plus tard

P***** le parking

C'est franchement grandiose et ça donne très envie...

La ND que vous avez rencontrée à Fonts, on dirait qu elle n'est pas dans le meme blanc que celle de ton pote, question D éclairage ou vraiment 2 coloris différents?

Ceramic "White" (au milieu) vs Crystal White (celle de Thomas0692)

Exactement.

Mais la photo amplifie la différence je trouve. Pour les avoirs vu les deux cote à cote en vrai (temps nuageux, pas de soleil direct), je trouve le Ceramic White (la plus foncée, celle du mec rencontré) moche par rapport au Cristal White (celle de Thomas) Peut être que l'impression n'est pas la même en plein soleil

Il existe aussi un 3e blanc, le Artic White.

suite étape 3

Après la pause du midi, nous continuons de longer l'Arc et somme de retour sur la D902. Direction le prochain col : le col de l’Iseran.

On passe le col de la Madeleine, qui n’en est pas vraiment un car la descente qui le suit ne dure que quelques centaines de mettre, avant de grimper à nouveau... D’ailleurs, ce col ne figure pas sur le tracé officiel de la RDGA. Et un autre col de la Madeleine se situant plus à l’ouest, est bien plus « prestigieux » Mais ça ne nous empêche pas de faire une photo (avec Pierre Alain en guest )



Col de la Madeleine, altitude 1 746m



Nous continuons de longer l’Arc en direction de Bonneval-sur-Arc. Le soleil commence à percer les nuages, permettant de prendre en photo le glacier de Charbonnel.



Arrivé à Bonneval-sur-Arc, réputé comme étant l’un des plus beaux villages de France.



On fait un détour rapide par le village pour essayer de trouver une station service mais la petite station est hors service. Pas grave, on attaque donc le plus haut des cols de la RDGA : le col de l’Iséran.



Le soleil revient, cool !

La route est un peu étroite mais ça va, ce n’est pas comme dans le col de la Cayolle où on craint de devoir s’arrêter pour se croiser.



Plus on monte, plus le ciel se charge et la température diminue…



Col de l’Iseran, altitude 2 770 m



Photo rapide à moitié au milieu de la route devant la stèle puis on va se garer sur le petit parking pour profiter du paysage.



A peine garé, voilà qu’il se met à grêler on remballe tout est on quitte la vallée de la Maurienne pour la Tarentaise en direction de Val-d’Isère.



En mode ultra safe dans la descente vue les conditions d’adhérence et de visibilité plus que réduite.

Nous sommes encore à 15km (de route) de Val d’Isère, mais la route du col croise les pistes de skis de Val-d’Isère.



Arrivée sur Val d’Isère, la météo est plus clémente. On alterne entre le beau et le moins beau ici, certains chalets ont beaucoup de charme, les barres d’immeubles style HLM beaucoup moins.

Je fais mon 4e plein du voyage ici. 9.08 l/100, ouf, une conso à peu près normale après les 11 l de la veille.



A la sortie de Val-d’Isère, on longe le Lac du Chevril, lac en amont du barrage du même nom, aussi appelé barrage de Tignes.



On décide de faire un détour par le barrage, Thomas reste en haut et nous prend en photo pendant qu’on le traverse.





Puis on échange les rôles.





On continue la descente vers Bourg-Saint-Maurice, en suivant l’Isère.



Suite aux conseils des gars d’Option Auto le matin, on se dirige vers La Rosière.

Je pense qu’on pas forcément choisi la meilleure route pour y accéder depuis le Nord. En effet, on quitte la D902 au niveau de Sainte-Foy-Tarentaise, on passe par un tas de petits villages avec des routes un peu trop escarpées pour la NA. Je conseille plus tôt de passer par la D1090 à partir de Séez, route qu’on prendra au retour.



On rattrape quand même cette D1090 sur la fin avant d’arriver à la Rosière.
Ce qui est étrange, c’est que les cartes Michelin mettent en vert la petite route qui passe par les hameaux (la D84) et pas la D1090 que j’ai trouvé beaucoup mieux !

Arrivé à la Rosière, altitude 1 850 m







Super spot pour les photos, malheureusement, le ciel devient de plus en plus menaçant.





Vu qu’on se trimballe ces merdes, autant les utiliser



La pluie fine se transforme d’un coup en grosse averse, on regagne les voitures en catastrophe.

Là où on a mal joué, c’est qu’on était qu’à 10km du col du Petit-Saint-Bernard (et donc, de la frontière Italienne), mais dans la précipitation due à la pluie, on a directement fait demi tour vers Bourg-Saint-Maurice.



On enlève les Kway trempés tout en conduisant, ça c’est du travail d’équipe.



Une autre ND allemande, décidément.

Quelques instants plus tard on arrive dans Bourg-Saint-Maurice sous la pluie battante et sa circulation assez dense en cette fin de journée.

On loge à l’Hotel L'Autantic *** http://www.autantic.fr/bourg-st-maurice/



Très bel hôtel, d’un standing supérieur à celui de Valberg, mais avec un prix forcément plus élevé. 90€ la nuit pour deux , en plus je me suis fait avoir, les petits déj’ n’étaient pas compris dans le prix de base La note monte donc à 110€ Malgré la pluie et le fait que la NA soit bien trempée à l’intérieur, je décline l’option garage à 10€





Au moins, on profite de la belle piscine, top car personne d’autre de l’hôtel pour nous faire chier

Pour le repas du soir, vu la météo on a pas trop envie de chiner dans la ville, d’autant plus que j’ai oublié de prendre un parapluie. Du coup ça sera McDo.

Après avoir englouti ce succulent Royal Cheese, la pluie a cessée, on essuie le max d’eau possible qu’il y a dans la voiture et sur les joints et on vérifie que la capote soit bien fermée vu qu’elle va passer sa 1ère nuit sans abri ^^

Fin de la 3e étape, la plus impressionnante de toute avec le Galibier et l’Iseran. Vraiment des paysages magnifiques. La météo n’a pas été top mais on a globalement eu de la chance. Vu ce que prévoyait Météo France la veille, on ne s’en tire pas trop mal, on a quand même pu rouler top down un bon 70% du temps.

Photos, tracés, récits, hôtels, ... tout est au top

Comme toujours, très chouette CR!

On a vraiment eu de la chance, parce qu'avec notre jour d'avance, on a eu que du beau temps sur tout le trajet!