Ce que tu dis, Fred62610, relativise largement les soucis que rencontrent les ND !

Il me semble Maintenant je sort pas souvent de la voiture elle est quasiment toujours top down. Mais c'est vraiment pas un probléme. C'est vintage

Je crois que je suis atteint du virus du top down, pour ma part... même si ce n'est pas ça qui m'a fait venir vers la MX-5 au départ.
J'en veux pour preuve, que j'ai en ce moment comme véhicule de prêt par l'assistance Mazda (le temps que ma MX-5, qui me manque beaucoup, se refasse une beauté post-accident), une Fiat 500 Cabriolet (le loueur m'a laissé le choix). Bon, d'accord, il n'y a strictement rien sous la pédale (62 ch), ça vibre, ça siffle, et surtout ça ne tient absolument pas la route... mais je roule décapoté dès que je peux (ce qui est rare, vu le temps qu'il fait). L'association toile + ouverture électrique est assez sympa, mais les montants des vitres sont beaucoup trop hauts, pour avoir la même impression qu'en MX-5 (sans compter la position de conduite).

Un vrai pot de yaourt, cette 500 cabriolet, ça veut déraper en permanence, mais de tous les cabriolets dans lesquels je suis monté, c'est franchement un des plus sympas pour ce côté-là... même si on reste à 1000 lieues d'une MX-5 !

Alors là, pas d'accord, ça tient la route... Toute la route !

A+ Gilles, qui déconneuuuuu...

Oui, il y a la solution sur la poignée également en effet , je l'avais vu sur le forum, par contre, pas vu d'intégration permettant d'avoir un truc "discret". Le système dont je me souviens, il me semble bien qu'il ne se fixais pas sur la poignée, mais sur l'armature intermédiaire, ou un truc du genre

Le truc c’est que cette voiture n’est pas un cabriolet mais une découvrable, comme la DS3 du même acabit.
Les constructeurs devraient avoir honte d'utiliser des dénominations inadaptées et fallacieuses comme celles-ci.

+1 Footix
Les voitures ont toujours eues des dénominations spécifiques pour chaque type de carrosserie,il fut un temps où personne n'aurais confondu
Au départ, le cabriolet est une voiture hippomobile très légère, à deux roues et deux places, élégamment munie d'une capote mobile et créée au XVIIe siècle. Son nom vient du verbe « cabrioler », c'est-à-dire « faire des cabrioles » sur les chemins empierrés de l'époque, cabrioles dues à sa légèreté. Elle connut une grande vogue à Paris au XVIIIe siècle.
Actuellement, le cabriolet (parfois appelé « décapotable » à la condition logique qu'il soit muni d'une capote et non d'un toit rigide rétractable) est une automobile ouverte et découvrable grâce à une capote ou un toit escamotable, avec un pare-brise fixe, et des portes sans encadrement supérieur. Il peut être dérivé d'une berline ou d'un coupé, comme disposer d'une plateforme qui lui est propre.
Cette carrosserie a comme type de silhouette :
tricorps ;
bicorps (Mini cabriolet, Volkswagen Golf Cabriolet).
Il y a deux ou quatre fenêtres latérales, dans ce dernier cas, les deux fenêtres latérales arrières sont relativement petites.
Au vu de la place prise par le mécanisme de la capote ou du toit rigide, les cabriolets sont des :
2 places strictes (Opel Tigra TwinTop), Mazda MX5, 997 Turbo Cabriolet ;
2+2, c'est-à-dire 2 vraies places + 2 places d'appoint ou pour enfants (Peugeot 206 CC) ;
4 vraies places, (Opel Astra Twin Top, Peugeot 307 CC,Volkswagen Eos, Renault Mégane II Coupé-Cabriolet, Ford Focus CC, Volvo C70 CC).
Concernant le nombre de portes :
Obligatoirement 2 portes sur ce type de véhicule (pour les 2 places, 2+2, et 4 places) ;
Très rares en 4 portes, mais dans ce cas le qualificatif de cabriolet ne peut être employé car la voiture est trop lourde pour "cabrioler", on l'appellera donc "décapotable" (ou "convertible" s'il n'y a pas de capote mais un toit en dur escamotable)ou torpédo.
Les sous-types de carrosserie qu'on peut regrouper sous l'appellation de cabriolets sont :
roadster : un cabriolet 2 portes et 2 places sportif se caractérisant par son poids et son confort limités ;
coupé cabriolet : un cabriolet à toit rigide et escamotable dont le premier exemple historique est la Peugeot 601 Éclipse ;
cabriolet targa ou targa : un cabriolet avec arceau rigide (Porsche Targa par exemple) ;
torpédo ou double phaéton : un cabriolet à 4 places ou plus, généralement 4 portes ;
tourer : un cabriolet sportif à 1, 2, 3 ou 4 portes (selon la disposition des roues de secours) qui est la version à 4 places du roadster ;
speeder : cabriolet à 2 places apparentes plus 1 ou 2 autres disponibles en ouvrant une trappe située à la place du coffre arrière.
landaulet : nom provenant de la ville de Landau (capitale du Palatinat), grande voiture dont seul le compartiment arrière est découvrable (par capote ou par toit rigide escamotable), voir ci-dessous dans le chapitre Limousine.
Les termes en langues étrangères sont :
« Kabriolet » en allemand,
« Drophead coupé » en anglais (Royaume-Uni),
« Convertible » en anglais (États-Unis et Royaume-Uni),
« Open two seater » en anglais (Royaume-Uni),
« Spyder » en italien (italianisation de speeder).

Ma NA est mon daily. j'ai fais changer la capote il y a quelques années et j'ai fais mettre une lunette en verre (pour la visibilité fermé); du coup, la manip est assez simple à condition d'être à côté de la voiture.

Pour ma part, j'applique la logique suivante : si quand je marche dans la rue je ne ressens pas de désagrément (notamment par rapport au froid ou à la pluie), alors je roule ouvert.
En ce moment, il m'arrive souvent d'aller bosser le matin en étant ouvert, c'est super sympa, ça détend, ça réveille, même.
Le soir, je considère que c'est même mon trajet boulot-maison constitue des "mini-vacances", là aussi nickel pour déconnecter des soucis de la journée.

l'autre jour, il m'est arrivé un truc marrant. je suis parti de chez moi et il faisait beau. donc, normal, je pars ouvert. Je prends l'autoroute. et au bout d'1/2 heure je vois arriver des gros nuages bien noirs avec une bonne grosse pluie d'orage en dessous. J'ai hésité à m'arrêter ou à continuer. Comme je n'avais pas envie de m'arrêter sur la bande d’arrêt d'urgence, j'ai décidé de continuer ! Je me suis donc retrouvé sous l'orage topdown !! Mais bon, à 130 km/h pas de problème (vous connaissez ça ). Le plus drôle c'était de voir la tête des gens qui me doublaient: ils étaient complètemetn hahuris , genre "c'est un grand malade,lui !"

Si je fais ça avec ma NC, je finis trempé avec la flotte qui ruisselle sur le haut des vitres latérales...

idem, à partir de 120km/h sur la ND, ça le fait aussi

il ne faut pas dépasser les 100-110 km/h et ça se passe beaucoup mieux

Mon plaisir... toujours décapoté ! de jour de nuit, l'hiver, l'été et peu importe de regard des autres !

Hors des agglo, j'optimise le mode découvrable et de tout temps ,... par contre en ville ou courts trajet interurbain, je reste couvert..
De la pudeur peut être..je n'en sais rien..

Pour decapoter à l'intérieur faut un peu s'entraîner au début mais après ça se fait tout seul

Notre week-end avec Madame : hier Eysines (33) / Bidart (64) par la route dite "des Lacs" (Cazaux, Biscarosse, Mimizan, Leon,...). 250 km de pur bonheur, ciel très incertain, 17-18 °, nuageux et quelques gouttes en arrivant au pays basque. Aujourd'hui 250 km vers Bordeaux via Dax et Mont de Marsan, tout par la route ; 260 km sous un ciel très incertain, 18/20 °, quelques gouttes vers Saint Vincent de Tyrosse.
Parcours réalisés entièrement top down, sinon pourquoi acheter un cabriolet ?

Top Down systématique sauf averse (et encore en roulant quand ça tombe fin c'est jouable).
Ayant débuté en Mimix le 1er novembre et pas mal roulé cet hiver ce n'est pas le froid qui me gène.
Par contre, mercredi après-midi alors qu'il faisait + de 35 j'en ai bavé. Sale temps pour les gros surement.