C'est cela, il est sceptique, plutôt une qualité de nos jours , surtout pour un scientifique...

Alors on continue à foncer dans le mur et on appuie toujours plus fort sur l'accélérateur, ou bien ?

Phil

Mais c'est pas si simple d'arrêter, la drogue est si douce et le sevrage demande d'énormes efforts. Bien au-delà d'une limitation de vitesse qui est un micro désagrément en face d'un gros problème.

J'ai effectivement lu in extenso le dernier bouquin de Gervais, et comme je me méfie de tout consensus idéologique, le livre m'a séduit. Je reste toujours sceptique pour le coup lorsque de personnes forcément bien-pensantes (donc désintéressés nest-ce pas) nous dictent notre morale et notre conduite. Je m'empresse même d'agir à contre-courant. Alors quand des thèses bien ficelees vont à l'encontre de la culpabilité dont on cherche à nous convaincre a longueur de journée (Ex Chirac au salon de l'auto - lequel Chirac n'a pas apporté grand-chose au pays de mon point de vue) j'avoue y adhérer bien plus facilement qu'aux mensonges dont nous matraquent les chaînes nationales.
Bon, je m'arrête là, chacun son opinion, mais il est hors de question que je culpabilise en prenant mes bagnoles ! Et surtout bonnes vacances pour ceux qui ont la chance d'y être !

C'est un peu ça.

On joue à la roulette russe avec un six coups, on a déjà préparé 6 balles, on peut arrêter là ou charger le barillet. Pour l'instant on part sur 3 balles mini, parce qu'après tout, le flingue, il est sur la tempe de nos enfants, pas sur la nôtre.

Mais c'est pas si simple d'arrêter, la drogue est si douce et le sevrage demande d'énormes efforts. Bien au-delà d'une limitation de vitesse qui est un micro désagrément en face d'un gros problème.

Phil

Je connais une solution pour réduire toutes les pollutions. Toutes, sans exception.
Il suffit de réduire le nombre de ces sources de ces pollutions.
Et la source de toutes ces pollutions, c'est l'homme.
Maîtriser la natalité, c'est maîtriser la pollution. Tout autre solution ne fait qu'éluder le problème.

A première vu on verra ça dans quelques générations.

Toujours la même rengaine...
L'impact a été maintes fois étudié et est marginal.

Oui, quand il pleut et que c'est l'heure d'aller au travail, il y a moins de cyclistes en circulation au moment T. C'est indéniable.

Je ne sais pas où tu vis, mais en général en France, rares sont les endroits où il pleut ou neige toute la journée, pendant les 6 mois d'automne et d'hiver... Par exemple, je suis du genre irréductible du vélotaf, donc je suis équipé pour rouler sous la pluie. Pour les moments dont on parle, réellement problématiques pour les déplacements en extérieur, j'ai un pantalon de pluie. Hé bien en moyenne, si je m'en sers 10 jours pas an, c'est bien le grand max. Et pas toujours sur les 2 trajets.

Quant aux températures, comme on se bouge, on est beaucoup moins touchés que, par exemple les motos ou les scooters.

Quelques connaissances ne font pas une statistique, mais curieusement, si je connais quelques personnes qui sont venues au vélo (de la voiture, des transports, voire de la moto), je n'en connais pas qui en soient reparti.

2) Limiter la population mondiale, mais là aussi sévèrement, en envisageant une politique de l'enfant unique sur 2 ou 3 générations, ce qui ne va pas être facile à mettre en œuvre j'avoue