Cette série montre l'impact de l'Affect et la transposition du Moi dans la représentation et le ressenti physico-intellectuel de l'Objet d'art dans une perception minimaliste du Tout des œuvres présentées dans la première série (de lundi dernier, note de la production).
Il s'agit de montrer que la taille réelle et visuellement perçue de près n'a que peu d'influence dans la satisfaction finale.

Note de la responsable de production : à la lecture de la dernière phrase du commentaire de l'artiste ci dessus "j'ignore si l'auteur à un excellent psy, ou bien s'il devrait consulter d'urgence !"

Je veux la même drogue que toi

@ Lunaviga, voilà :



PS : se prend non pas en intraveineuse, mais à la cuillère.

J'adore

La concoillote, c'est pire qu'un pot de glace addictif... Ca ce mange en toute saison, en toute occasion et surtout Beaucoup Beaucoup trop facilement

C'est une drogue que j'ai découverte au début des années 80', plébiscitée par l'un de mes chanteurs français adoré

https://youtu.be/M1_uhIhhAMw?si=px6a_NAPeUwrvcLM



Mon dealer actuel est Grand Frais, avec des versions au vin jaune et à l'ail rose

Un si grand parking vide, tu nous caches quelques tendances de jeunot roi du burn Laurent ?

@Project : tu veux participer ?

Allez nous sommes jeudi, épisode 2 de "Randonnées et patrimoine en ruine".

Ci dessous une photo de Bretzel prise lors de la vadrouille ante MHI. Elle donne la situation des châteaux sur les hauteurs d'Husseren les 3 châteaux (ils savent compter juste jusque là.)



Jeudi dernier je vous ai montré le premier (le plus à gauche sur la photo de Bretzel, sur les photos suivantes c'est celui du milieu : le Wahlenbourg (à l'arrière plan le troisième château le Dagsbourg que je vous montrerai de plus près jeudi prochain




(à l'arrière plan le Weckmund montré jeudi dernier)




Et palindrome du jour :

Eh bien écoute si on vient à se croiser sur la route, avec plaisir Rescht ! Tu me montreras la différence avec ou sans les Ohlins.

Une photo bien sympa par l'ami Bretzel. Je me souviens encore de toi me faisant signe de regarder à droite de la route à ce moment.

Comme chaque lundi...











Une série faite volontairement selon la vision vulgaire* de l'Objet d'Art avec le Tout cadré dans une dimension intermédiaire permettant une identification parcellaire de celui ci. Le Tout n'est plus là en tant que tel, mais en tant que simple fond iconographique. La valeur du Tout n'existe pas par elle-même, elle ne vaut que par la présence de l'Objet d'art.

*Au sens premier, latin du terme vulgaris, vulgus : reçu communément, multitude


Rappel de la production : les écrits en italique sont de l'auteur des photos et n'engagent que ce dernier.

J'adore ta prose et cela donne vraiment du contexte à tes photos. C'est très représentatif de mon ressenti sur la 2 et la 5. Vraiment bravo, c'est une excellente idée ce travail photographique.

Episode 3 de "Randonnées et patrimoine en ruine" avec la 3ème et dernier château du Haut-Equisheim, le Dagsbourg dont il ne reste pas grand chose à part ce donjon :







Au fond on aperçoit, sauf erreur, le château de Hohlandsbourg que je vous montrerai jeudi prochain


Palindrome du jour :

comme une simple sortie "courses" devient de l'Art avec ton œil d'artiste

...et aussi une façon de dépenser moins en ne visant à remplir de provisions que la boite à gants, pardon, le coffre

Merci les gars, la suite demain vers 18h00

Episode 4




Une petite série centrée sur l'Objet d'art. C'est spontanément ce type cliché que beaucoup ont en tête car c'est LA vision du Moi transposé dans l'Objet d'art dans un Tout global dont la présence est réduite autant que possible. Même si dans cette série j'ai laissé quelques indices permettant d'identifier une partie du Tout, l'identification géographique est impossible, elle n'a de fait aucune importance, le Tout devient un accessoire de mise en valeur de l'Objet d'Art encore plus que dans les séries précédentes. Il pourrait s'agir d'un fond uni que le résultat ressenti serait quasi identique, le quasi à son importance, en effet certains détails font une grande différence : la partie du Tout utilisée permet un multiple reflet brouillé de l'objet d'Art (notamment sur la première photo), comme un écho visuellement dégressif à la présence prédominante au premier plan de l'Objet d'Art (seconde photo). La vitrophanie choisie comme partie représentative du Tout ne l'a pas été par hasard (photo 1), elle permet l'identification partielle du Tout comme évoquée plus haut.

Rappel : en italique citation/remarque de l'auteur.

Remarque de la responsable de production : Il n'y a pas que le reflet qui est brouillé, le cerveau de certaine personne aussi. Je me demandais dans une réflexion précédente si l'auteur des photos avait un bon psy ou s'il devait consulter d'urgence, j'ai la réponse : l'urgence s'impose.